
Opinion
22 Avril 2025
Une évangélisation qui nous redonne
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Le 18 mai, un ami, monsieur Valmond Daigle, m’a aimablement invité à la cérémonie du Vendredi Saint. En plus de cela, il m’a conduit à la chapelle universitaire, et nous avons été tous les deux émerveillés par la célébration qui était soigneusement préparée, hautement dirigée et très pieuse.
Un autre élément nous a impressionnés. C’était de constater le fait que le groupe prenant part à cette cérémonie était surtout des gens originaires d’Afrique subsaharienne. J’oserais dire entre 85 à 90 pour cent.
Une fois arrivé à la maison, j’ai commencé à penser à mes années scolaires alors que le personnel enseignant nous sollicitait monétairement! On envoyait de l’argent pour évangéliser les petits enfants africains. Comme enseignant et directeur d’école, j’ai moi aussi maintenu la tradition.
Il se pourrait bien qu’un jour, l’Afrique en fasse autant pour les nôtres et même les plus âgés. Cela semble même être déjà le cas, puisque bon nombre de «jeunes» prêtres de l’archidiocèse de Moncton nous viennent de l’international, et notamment du continent africain.
Il faut rendre grâce, car nous récoltons les fruits que nous avons semés.
Alcide F. LeBlanc
Moncton
Un autre élément nous a impressionnés. C’était de constater le fait que le groupe prenant part à cette cérémonie était surtout des gens originaires d’Afrique subsaharienne. J’oserais dire entre 85 à 90 pour cent.
Une fois arrivé à la maison, j’ai commencé à penser à mes années scolaires alors que le personnel enseignant nous sollicitait monétairement! On envoyait de l’argent pour évangéliser les petits enfants africains. Comme enseignant et directeur d’école, j’ai moi aussi maintenu la tradition.
Il se pourrait bien qu’un jour, l’Afrique en fasse autant pour les nôtres et même les plus âgés. Cela semble même être déjà le cas, puisque bon nombre de «jeunes» prêtres de l’archidiocèse de Moncton nous viennent de l’international, et notamment du continent africain.
Il faut rendre grâce, car nous récoltons les fruits que nous avons semés.
Alcide F. LeBlanc
Moncton