Communauté
23 Octobre 2025
Quand sonne la cloche à la Maison Nazareth
À la Maison Nazareth, seul refuge francophone pour les sans-abris à Moncton, le son d’une cloche n’est pas qu’un simple bruit.
C’est une véritable musique aux oreilles du personnel car elle symbolise une grande victoire : la réinsertion au sein du tissu social d’une personne itinérante qui voit la lumière au bout du tunnel.
«Nous avons reçu le témoignage touchant d’une personne qui a séjourné chez nous. Son histoire positive est bien plus qu’un simple récit personnel: c’est une victoire partagée, celle d’une communauté qui croit en la possibilité du changement, de la dignité et de l’espoir», annonce l’organisme fondé en 1979 par Sœur Rita Barrieau.
En raison d’un manque de communication entre son colocataire et son propriétaire, la personne en question était arrivée au refuge en juin dernier. Elle n’a jamais perdu espoir.
«La lumière est devenue par la suite de plus en plus brillante. Avec beaucoup de changements durant mon séjour, jamais je n’ai abandonné mon idée d’avoir un appartement et un emploi.»
Quatre mois plus tard, à force de détermination et de dialogue, elle a atteint son but avec l’aide de Crystal et de Nadine.
«Mon rêve et mes buts deviennent une réalité. Je ne pourrai jamais les remercier assez pour toute l’aide que j’ai reçue et pour ce que ces gens on fait pour moi. Je ne peux pas dire que chaque jour a été parfait, mais avec de la positivité en tête, tout s’est arrangé en fin de compte. Avec l’aide des travailleurs à la maison Nazareth, ainsi que les associations qui nous ont procuré les outils nécessaires pour avoir de l’aide, en fin de compte j’ai été capable de persévérer et du même coup arriver à deux de mes buts : avoir un appartement et avoir un emploi. Merci pour tout!», écrit celle qui a signé «K.S.»
Enfin, à l’occasion de l’Action de grâces, la Maison Nazareth a reçu de magnifiques dessins d’élèves de 5e année du comité des Grands Cœurs de l’école Père-Edgard-T.-Leblanc. Ils sont soigneusement affichés sur les murs du refuge.
«Ces petites œuvres d’art ont mis de la lumière et de la joie dans le cœur de tous», affirme la Maison Nazareth.
C’est une véritable musique aux oreilles du personnel car elle symbolise une grande victoire : la réinsertion au sein du tissu social d’une personne itinérante qui voit la lumière au bout du tunnel.
«Nous avons reçu le témoignage touchant d’une personne qui a séjourné chez nous. Son histoire positive est bien plus qu’un simple récit personnel: c’est une victoire partagée, celle d’une communauté qui croit en la possibilité du changement, de la dignité et de l’espoir», annonce l’organisme fondé en 1979 par Sœur Rita Barrieau.
En raison d’un manque de communication entre son colocataire et son propriétaire, la personne en question était arrivée au refuge en juin dernier. Elle n’a jamais perdu espoir.
«La lumière est devenue par la suite de plus en plus brillante. Avec beaucoup de changements durant mon séjour, jamais je n’ai abandonné mon idée d’avoir un appartement et un emploi.»
Quatre mois plus tard, à force de détermination et de dialogue, elle a atteint son but avec l’aide de Crystal et de Nadine.
«Mon rêve et mes buts deviennent une réalité. Je ne pourrai jamais les remercier assez pour toute l’aide que j’ai reçue et pour ce que ces gens on fait pour moi. Je ne peux pas dire que chaque jour a été parfait, mais avec de la positivité en tête, tout s’est arrangé en fin de compte. Avec l’aide des travailleurs à la maison Nazareth, ainsi que les associations qui nous ont procuré les outils nécessaires pour avoir de l’aide, en fin de compte j’ai été capable de persévérer et du même coup arriver à deux de mes buts : avoir un appartement et avoir un emploi. Merci pour tout!», écrit celle qui a signé «K.S.»
Enfin, à l’occasion de l’Action de grâces, la Maison Nazareth a reçu de magnifiques dessins d’élèves de 5e année du comité des Grands Cœurs de l’école Père-Edgard-T.-Leblanc. Ils sont soigneusement affichés sur les murs du refuge.
«Ces petites œuvres d’art ont mis de la lumière et de la joie dans le cœur de tous», affirme la Maison Nazareth.
