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17 Octobre 2025
Les 100 ans de Léonard Boucher célébrés à Bouctouche
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Résident de Bouctouche et précédemment de Saint-Paul-de-Kent, Léonard Boucher va célébrer son 100e anniversaire de naissance le 6 novembre. Des membres de sa famille lui ont organisé une fête au Club d’âge d’or de Bouctouche dimanche après-midi, en présence de plusieurs amis et de membres de la famille, dont son fils de l’Ontario.
Normand A. Léger
Le Moniteur Acadien
Son père a vécu jusqu’à 91 ans et sa mère 73 ans. Il se sent bien et a très peu été malade dans sa vie. Il a conduit sa voiture jusqu’à récemment, habite un appartement et visite ses amis à la maison locale de café régulièrement.
«C’est moi qui manquais le moins de temps au travail en raison de la maladie, a dit celui qui a été bûcheron et qui a travaillé 36 ans dans un moulin de papier en Ontario. Je vais avoir 100 ans le 6 novembre et j’espère vivre encore quelques années.»
Boucher est l’une des deux personnes originaires de Saint-Paul-de-Kent à avoir 100 ans cette année. L’église de la paroisse va aussi fêter son centenaire cette année. Ulysse Gaudet a célébré le sien en avril dernier.
«J’ai travaillé dans le bois et sur les camions pour transporter le bois, a indiqué fringant nonagénaire à l’aube d’un siècle d’existence et qui, au sein de la famille Boucher, est celui qui a déjà vécu le plus longtemps. J’ai travaillé 36 ans dans un moulin de papier à Toronto. À 62 ans, j’ai pris ma retraite et je suis revenu ici. Toronto est une trop grande ville pour y rester. J’ai de bons souvenirs de Saint-Paul-de-Kent et de Bouctouche. Lorsque je suis parti, je m’ennuyais beaucoup et c’était malaisé de partir. Je devais aller ailleurs pour trouver de l’ouvrage.»
Le secret de vivre 100 ans réside dans le travail, l’exercice et se garder occupé, selon le quasi-centenaire qui a eu un fils, George, et deux petits-enfants, Ryan et Addison. J’ai travaillé comme bénévole, je jardine, fais de l’exercice et je marche beaucoup depuis ma retraite. C’est ce qui m’a fait vivre jusqu’à 100 ans en santé. J’ai aimé danser quand j’étais jeune, jouer aux cartes et m’amuser.»
Boucher dit qu’il a bien apprécié les nombreuses personnes qui sont venues lui souhaiter un joyeux anniversaire dimanche. «J’ai aimé ma fête, c’était bien de voir un si gros groupe de monde qui me connaît. Aujourd’hui, je ne peux plus marcher aussi loin. Je ne conduis plus depuis quelques mois. Les gens sont bons pour moi.»
Boucher a servi deux ans dans l’armée sans se rendre en Europe. «C’était dur dans l’armée, a-t-il ajouté. On attendait un bateau pour deux jours pour nous amener en Europe. Finalement, on nous a dit qu’il y avait assez de troupes et qu’on n’avait plus besoin de nous. J’ai été transféré à l’armée américaine et là aussi, ils ont envoyé la bombe atomique sur le Japon et cela a mis fin à la guerre. Je n’ai pas eu besoin de combattre.»
Le plus âgé de la famille Boucher aime bien se remémorer les histoires de sa vie. Sa mémoire est vive et il aime bien parler avec les gens de toute sorte de sujets. Sa canne est devenue son amie de marche.
Il a reçu plusieurs certificats, cadeaux et cartes de fête pour l’occasion.
Normand A. Léger
Le Moniteur Acadien
Son père a vécu jusqu’à 91 ans et sa mère 73 ans. Il se sent bien et a très peu été malade dans sa vie. Il a conduit sa voiture jusqu’à récemment, habite un appartement et visite ses amis à la maison locale de café régulièrement.
«C’est moi qui manquais le moins de temps au travail en raison de la maladie, a dit celui qui a été bûcheron et qui a travaillé 36 ans dans un moulin de papier en Ontario. Je vais avoir 100 ans le 6 novembre et j’espère vivre encore quelques années.»
Boucher est l’une des deux personnes originaires de Saint-Paul-de-Kent à avoir 100 ans cette année. L’église de la paroisse va aussi fêter son centenaire cette année. Ulysse Gaudet a célébré le sien en avril dernier.
«J’ai travaillé dans le bois et sur les camions pour transporter le bois, a indiqué fringant nonagénaire à l’aube d’un siècle d’existence et qui, au sein de la famille Boucher, est celui qui a déjà vécu le plus longtemps. J’ai travaillé 36 ans dans un moulin de papier à Toronto. À 62 ans, j’ai pris ma retraite et je suis revenu ici. Toronto est une trop grande ville pour y rester. J’ai de bons souvenirs de Saint-Paul-de-Kent et de Bouctouche. Lorsque je suis parti, je m’ennuyais beaucoup et c’était malaisé de partir. Je devais aller ailleurs pour trouver de l’ouvrage.»
Le secret de vivre 100 ans réside dans le travail, l’exercice et se garder occupé, selon le quasi-centenaire qui a eu un fils, George, et deux petits-enfants, Ryan et Addison. J’ai travaillé comme bénévole, je jardine, fais de l’exercice et je marche beaucoup depuis ma retraite. C’est ce qui m’a fait vivre jusqu’à 100 ans en santé. J’ai aimé danser quand j’étais jeune, jouer aux cartes et m’amuser.»
Boucher dit qu’il a bien apprécié les nombreuses personnes qui sont venues lui souhaiter un joyeux anniversaire dimanche. «J’ai aimé ma fête, c’était bien de voir un si gros groupe de monde qui me connaît. Aujourd’hui, je ne peux plus marcher aussi loin. Je ne conduis plus depuis quelques mois. Les gens sont bons pour moi.»
Boucher a servi deux ans dans l’armée sans se rendre en Europe. «C’était dur dans l’armée, a-t-il ajouté. On attendait un bateau pour deux jours pour nous amener en Europe. Finalement, on nous a dit qu’il y avait assez de troupes et qu’on n’avait plus besoin de nous. J’ai été transféré à l’armée américaine et là aussi, ils ont envoyé la bombe atomique sur le Japon et cela a mis fin à la guerre. Je n’ai pas eu besoin de combattre.»
Le plus âgé de la famille Boucher aime bien se remémorer les histoires de sa vie. Sa mémoire est vive et il aime bien parler avec les gens de toute sorte de sujets. Sa canne est devenue son amie de marche.
Il a reçu plusieurs certificats, cadeaux et cartes de fête pour l’occasion.