
Opinion
16 Juin 2025
L’être humain est de plus en plus insouciant
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Quand une personne ne prend pas soin de sa santé, elle est sujette à en subir les conséquences. Par exemple, d’après mes croyances et mes profondes convictions, les fumeurs réduisent la qualité de leur santé et abrègent donc leur existence terrestre.
Quand les automobilistes sont en mouvement et consultent leurs téléphones cellulaires, ne risquent-ils pas leurs vies et celles des autres?
Pourtant, la loi exige que les deux mains soient toujours occupées au volant et les deux yeux en direction de la voiture.
Abordons un autre sujet. Si une personne se rend à l’hôpital, en raison d’un malaise, on exige qu’elle subisse une petite épreuve. On prend sa température. Si elle est élevée, on lui dira probablement qu’elle souffre de la fièvre ce qui signifie que sa santé doit être soignée.
Depuis très longtemps, les scientifiques du monde entier nous rappellent sans cesse que notre fragile planète se réchauffe chaque année ce qui veut dire qu’elle est frappée de la fièvre! En d’autres mots, nous devons la soigner, sans quoi elle deviendra inhabitable pour nous, nos petits-enfants et les autres à venir.
Notre génération et les nombreuses autres qui nous ont précédés n’ont pas suffisamment respecté les exigences sanitaires de notre planète.
Permettez-moi de rappeler un simple fait. Quand je marche dans les rues à Moncton ou dans d’autres communautés, je suis scandalisé de voir autant de déchets devant certains édifices, le long des routes ou des rues. On se croirait en présence de dépotoirs publics.
Dans certains pays, si un policier voit un fumeur jeter par terre un mégot de cigarette, il exige de lui de payer une amende de mille dollars. Demandons à notre gouvernement provincial de légiférer en la matière, nous atteindrions vite l’équilibre budgétaire!
Tout récemment, un citoyen de Moncton a nettoyé le côté d’une rue à Moncton. Deux ou trois jours plus tard, cette même rue était aussi malpropre.
Je termine donc cette lettre avec l’espoir qu’elle sera lue et discutée dans les écoles, dans les universités, dans les collèges communautaires, dans les cafés et dans les foyers.
Si notre planète a de la fièvre, si elle est malade, notre génération et les précédentes en sont responsables.
Ne laissons donc pas aux prochaines générations de régler ce problème car si la planète devient inhabitable, elles nous accuseront d’insouciance.
Alcide F. LeBlanc
Moncton
Quand les automobilistes sont en mouvement et consultent leurs téléphones cellulaires, ne risquent-ils pas leurs vies et celles des autres?
Pourtant, la loi exige que les deux mains soient toujours occupées au volant et les deux yeux en direction de la voiture.
Abordons un autre sujet. Si une personne se rend à l’hôpital, en raison d’un malaise, on exige qu’elle subisse une petite épreuve. On prend sa température. Si elle est élevée, on lui dira probablement qu’elle souffre de la fièvre ce qui signifie que sa santé doit être soignée.
Depuis très longtemps, les scientifiques du monde entier nous rappellent sans cesse que notre fragile planète se réchauffe chaque année ce qui veut dire qu’elle est frappée de la fièvre! En d’autres mots, nous devons la soigner, sans quoi elle deviendra inhabitable pour nous, nos petits-enfants et les autres à venir.
Notre génération et les nombreuses autres qui nous ont précédés n’ont pas suffisamment respecté les exigences sanitaires de notre planète.
Permettez-moi de rappeler un simple fait. Quand je marche dans les rues à Moncton ou dans d’autres communautés, je suis scandalisé de voir autant de déchets devant certains édifices, le long des routes ou des rues. On se croirait en présence de dépotoirs publics.
Dans certains pays, si un policier voit un fumeur jeter par terre un mégot de cigarette, il exige de lui de payer une amende de mille dollars. Demandons à notre gouvernement provincial de légiférer en la matière, nous atteindrions vite l’équilibre budgétaire!
Tout récemment, un citoyen de Moncton a nettoyé le côté d’une rue à Moncton. Deux ou trois jours plus tard, cette même rue était aussi malpropre.
Je termine donc cette lettre avec l’espoir qu’elle sera lue et discutée dans les écoles, dans les universités, dans les collèges communautaires, dans les cafés et dans les foyers.
Si notre planète a de la fièvre, si elle est malade, notre génération et les précédentes en sont responsables.
Ne laissons donc pas aux prochaines générations de régler ce problème car si la planète devient inhabitable, elles nous accuseront d’insouciance.
Alcide F. LeBlanc
Moncton