Culture
8 Mai 2025
Le grand Peut-être : un dernier salut à Antonine Maillet
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Le magnifique spectacle Le grand Peut-être a clôturé la 26ᵉ édition du Festival Frye de Moncton avec éclat. Une foule chaleureuse et nombreuse s’est rassemblée pour cet hommage vibrant à la regrettée Antonine Maillet, décédée en février dernier.
Michel C. Belliveau
Le Moniteur Acadien
Conçu et écrit par l’écrivaine et poétesse acadienne Georgette LeBlanc, Le grand Peut-être se présente comme une œuvre onirique, un cours d’introduction à la création littéraire, à la manière unique de Madame Antonine Maillet. Le texte s’appuie sur une sélection d’extraits revisités de Clin d’œil sur le temps qui passe et de Mon Testament.

Interprété avec majesté par la comédienne Mélanie LeBlanc, ce texte intimiste et poétique explore la vie et l’œuvre de la célèbre écrivaine acadienne, en revisitant plusieurs personnages marquants de son univers littéraire.
Ce dimanche après-midi fut de ceux que l’on n’oublie pas de sitôt.
À la fin de cette lecture théâtrale, Mélanie LeBlanc a reçu une ovation aussi chaleureuse que spontanée. Des cris de « bravo » — sincères, viscéraux — ont fusé du fond de la salle Viola-Léger, au pavillon Jeanne-de-Valois de l’Université de Moncton.
«Tonine», pour les intimes, semblait être parmi nous. Comme si elle nous chuchotait encore: «Pour créer, il faut garder son cœur ouvert…»
Ce dimanche 4 mai restera gravé dans nos cœurs comme un dernier salut à cette grande dame qui a façonné l’Acadie à sa manière.
Michel C. Belliveau
Le Moniteur Acadien
Conçu et écrit par l’écrivaine et poétesse acadienne Georgette LeBlanc, Le grand Peut-être se présente comme une œuvre onirique, un cours d’introduction à la création littéraire, à la manière unique de Madame Antonine Maillet. Le texte s’appuie sur une sélection d’extraits revisités de Clin d’œil sur le temps qui passe et de Mon Testament.

Interprété avec majesté par la comédienne Mélanie LeBlanc, ce texte intimiste et poétique explore la vie et l’œuvre de la célèbre écrivaine acadienne, en revisitant plusieurs personnages marquants de son univers littéraire.
Ce dimanche après-midi fut de ceux que l’on n’oublie pas de sitôt.
À la fin de cette lecture théâtrale, Mélanie LeBlanc a reçu une ovation aussi chaleureuse que spontanée. Des cris de « bravo » — sincères, viscéraux — ont fusé du fond de la salle Viola-Léger, au pavillon Jeanne-de-Valois de l’Université de Moncton.
«Tonine», pour les intimes, semblait être parmi nous. Comme si elle nous chuchotait encore: «Pour créer, il faut garder son cœur ouvert…»
Ce dimanche 4 mai restera gravé dans nos cœurs comme un dernier salut à cette grande dame qui a façonné l’Acadie à sa manière.
