Culture
22 Octobre 2025
Festival Parlures d’icitte : une ouverture tout en lumière à Memramcook
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La soirée d’ouverture du Festival Parlures d’icitte, dans la belle vallée de Memramcook, s’est déroulée sous la douce lueur des bougies. Pour cette quatrième édition, le public a assisté à un moment magique où la parole, la poésie et la musique se sont entremêlées.
Michel C. Belliveau
Le Moniteur Acadien
Quatre conteuses chevronnées se sont succédé sur scène : Josiane Benoît, Céleste Godin, Meadow et Marie-Philippe Bergeron.

Josiane Benoît a ouvert la soirée avec aisance et naturel, livrant une légende acadienne inspirée de la vie d’une jeune fille de Memramcook.
Puis, Céleste Godin, originaire de la Nouvelle-Écosse et aujourd’hui installée à Moncton, a revisité le conte du Petit Chaperon rouge dans une version moderne et surprenante.
Venue de France, Meadow a partagé trois poèmes nés de son séjour de six mois dans les montagnes bretonnes, avant de conclure par une lettre ouverte à l’Acadie, sa terre d’adoption.
Enfin, la poète autochtone Marie-Philippe Bergeron a présenté une performance sonore intitulée Rentre dans ma rose, un vibrant poème musical retraçant le parcours symbolique d’une fleur.
À la sortie, plusieurs spectateurs ont salué la qualité des prestations, tout en notant un ton bien différent de celui de l’an dernier.
La soirée se tenait dans la salle Marie-Léonie, au cœur de Memramcook. De quoi donner le ton pour une édition déjà prometteuse du festival.
Michel C. Belliveau
Le Moniteur Acadien
Quatre conteuses chevronnées se sont succédé sur scène : Josiane Benoît, Céleste Godin, Meadow et Marie-Philippe Bergeron.

Josiane Benoît a ouvert la soirée avec aisance et naturel, livrant une légende acadienne inspirée de la vie d’une jeune fille de Memramcook.
Puis, Céleste Godin, originaire de la Nouvelle-Écosse et aujourd’hui installée à Moncton, a revisité le conte du Petit Chaperon rouge dans une version moderne et surprenante.
Venue de France, Meadow a partagé trois poèmes nés de son séjour de six mois dans les montagnes bretonnes, avant de conclure par une lettre ouverte à l’Acadie, sa terre d’adoption.
Enfin, la poète autochtone Marie-Philippe Bergeron a présenté une performance sonore intitulée Rentre dans ma rose, un vibrant poème musical retraçant le parcours symbolique d’une fleur.
À la sortie, plusieurs spectateurs ont salué la qualité des prestations, tout en notant un ton bien différent de celui de l’an dernier.
La soirée se tenait dans la salle Marie-Léonie, au cœur de Memramcook. De quoi donner le ton pour une édition déjà prometteuse du festival.
