Le Comité des Grands Cœurs trouve que la Journée du Chandail orange est une manière montrer leur amitié et leur support aux autochtones. C’est très important de reconnaître les acadiens et les autochtones étaient des amis avant les Déportation des Acadiens. Par la suite, ce sont les autochtones qui ont été ciblés par les anglais en créant les pensionnats pour ‘’Tuer l’Indien de l’enfant’’ ‘’citation de John A McDonald, 1er Premier Ministre du Canada’’. Il voulait changer le peuple autochtone en race blanche. Il voulait leur enlever leur culture, leurs coutumes, leur langue, leur force comme un peuple en séparant les enfants de leurs familles. La Déportation des Acadiens et les pensionnats étaient des attaques envers les acadiens et les autochtones en séparant les familles pour détruire les peuples.
(Trois élèves sont en train de faire une annonce à l'interphone pour décrire la Journée du Chandail orange.)
Au bout du chemin du Cap-Bimet, il y a un cimetière avec des noms Acadiens et Autochtones dans le même, ce qui montre l’unité des 2 peuples.
L’histoire du chandail orange est l’histoire d’une jeune fille de 6 ans qui avait reçu un beau chandail orange de sa grand-mère pour commencer l’école. Elle était tellement excitée de commencer l’école, mais lorsqu’elle arriva au pensionnat, les enseignantes lui ont enlevée son chandail orange. Ils ont lavé les enfants pour essayer d’enlever le brun de sa peau, couper les cheveux qui est sacré pour leur peuple, enlever leur nom et donné un numéro. Les enfants étaient mal nourris, ils mangeaient du gruau pour le déjeuner, s’ils ne le mangeaient pas ou qu’ils le vomissaient, ils devaient le manger de nouveau. Ils étaient frappés lorsqu’ils parlaient leur langue, ils subissaient de l’abus physique, émotionnel et sexuel. C’est un traumatisme pour ce peuple.
Le Comité des Grands Cœurs a produit des chandails de ‘’Chaque Enfant Compte’’ pour les vendre pour que l’école soit tout en orange. Nous offrons le profit à l’école d’Elsipogtog pour les aider à garnir du matériel pour aider à conserver leur langue Mi’kmaq.
(Les plumes d'aigles sont un symbole de Paix.)